Publié le 27 février 2017
Nous vous en avions parlé en début d’année. L’arrêté du 10 janvier 2017 va changer le format des annonces immobilières en vitrine, sur internet et dans les salons professionnels. La date butoir approche à grand pas maintenant, aussi bien pour les ventes que les locations et c’est bien là que le bât blesse. En effet, ce sont deux types de transaction totalement différents et cela risque de créer plus de complications alors que l’objectif était la transparence de l’information. En ce qui nous concernent, des doutes plus importants persistent, les voici.
La plupart du temps, ceux-ci requièrent une certaine discrétion. Ce sont des bien d’exceptions et les accords passés entre vendeurs et conseillers immobiliers se doivent de rester confidentiels également. D’ailleurs à ce propos, le gouvernement n’a pas tenu compte des avis de la FNAIM avant la publication de l’arrêté qui fut publié en tout début d’années. En effet, un type d’affichage unique n’est pas toujours approprié vu la diversité des biens à vendre. Les efforts varient également d’une transaction à l’autre, les professionnels le savent bien, les vendeurs le comprennent. Bref, un point à éclaircir, nous vous tiendrons au courant .
Nous parlons régulièrement des portails immobiliers sur notre newsletter. En effet la révolution numérique les a propulsé au premier rang en terme de recherche de biens. Ceux-ci n’ont pas été inclus dans l’arrêté donc des sites tels que seloger.com ou avendrealouer.fr ne sont pas impactés à l’heure qu’il est par le nouvel affichage. Non seulement cela va créer plus de confusions au niveau des différences de prix, les acheteurs et vendeurs potentiels risquent également de ne pas comprendre la différence de traitement.
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